Le chanteur ivoirien Debordo Leekumfa a finalement été libéré, tard, dans la nuit du mercredi dernier, après une garde à vue de 24 heures, au Commissariat du 1er Arrondissement de Yaoundé, au Cameroun. Il avait été amené au poste de police par les organisateurs de sa tournée au Cameroun, après qu’il ait exigé un ajout financier sur ses cachets de spectacles, préalablement conclus. Pour rappel, Debordo avait exigé un bonus de 1 Million FCFA sur le cachet préalable de 2 Millions CFA. Ce qui a soulevé le courroux des organisateurs.
La nouvelle info ? Selon les échos émanant des sources policières camerounaises, Debordo aurait dit à l’agent de la police judiciaire, dans sa déposition, qu’il voulait faire comme Arafat qui, exigerait tout le temps, une rallonge sur ses cachets, avant toute prestation. Ce chantage de Debordo n’a pas fonctionné avec ces organisateurs qui l’ont conduit, manu militari, au poste de police.
Une fois sorti de sa garde à vue, un compromis a été trouvé entre les deux parties. Debordo Leekumfa s’est engagé à tenir deux spectacles. Cette fois, sans demander un quelconque ajout financier. Ce à quoi devra-t-il s’atteler, avant de quitter le sol camerounais.
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