Si l’Olympique Lyonnais s’est montré actif sur le marché des transferts hier lundi, dernière journée du mercato estival, un joueur ne quittera peut-être pas le navire comme prévu. Il s’agit de Bakary Koné. Annoncé à Fulham , un club de deuxième division anglaise, le défenseur burkinabè ne se rendra finalement pas dans son nouveau club. Et pourtant, le contrat de Bakary Koné était parfait.
« Tout ne s’est pas passé comme prévu puisque les dirigeants anglais ont changé d’avis » a déclaré Jean Michel Aulas,le boss de L’Olympique de Lyon avant d’ajouter : «pour moi, Koné est un joueur de Fulham avec qui nous avons un vrai sujet de discorde. Nous avons signé pour le transfert de Bakary. Ils ont fait traîner jusqu’à son départ en sélection. Il ne pouvait donc pas rester et une fois que son départ était acté, ils nous ont évoqué des tests médicaux supplémentaires à passer puis enfin, informer de ne pas le prendre», Pour rappel le joueur de 27 ans, défenseur central, qui ne rentre plus dans les plans du staff technique de Lyon, était sur le point de rejoindre Fulham, club londonien de D2. De source anglaise, le montant du transfert approcherait les 2 millions d’euros et le contrat était pour 4 ans.
Toujours de sources anglaises, le patron de la défense burkinabè n’intéresserait plus les dirigeants de Fulham qui se serait tourner vers un autre défenseur qu’ils envisagent de payer à 6 millions d’euros. Maintenant que les choses se sont capotées, Jean Michel Aulas menace de porter l’affaire devant les tribunaux. « Si nous devons passer par les tribunaux, nous irons et cela se passera à la FIFA qui sera l’arbitre. La législation est en notre faveur » a prévenu le président de l’OL. Le moins que l’on puisse dire est que la carrière de Bakary Koné est en pointillé. Si éventuellement l’OL arrive à forcer les dirigeants anglais via les tribunaux pour qu’ils prennent malgré eux le joueur, ils pourraient ne pas le faire jouer le moindre match et attendra le mercato prochain pour le vendre. Le cas contraire, le Burkinabè repartira à Lyon où il continuera à « banketer ». Affaire donc à suivre.
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vRAIMENT mONSIEUR LE JOURNALISTE. eT DIRE QUE VOUS AIMER NOUS RABACHER LES OREILLES QUE VOUS FETES LA PROMOTION DE NOS JOUEUS ; CeT ARTICLE ME SURPREND ENORMEMENT VENANT D’UN SITE BURKINABE. Au moment ou le general bako traverse des momemts difficiles, si vous ne pouvez pas le soutenir, il ne faut quand meme pas vous rire de lui. quand meme !